When you learn an instrument and it's waaaaaay harder than you thought...

How I made unique drums using my fingers and an sm57 microphone . Real footage only.

Suite à une opération, le voyage onirique d'un homme révèle ses peurs et ses plus grandes appréhensions. - Following surgery, a man embarks on a dreamlike journey that unveils his deepest fears and darkest apprehensions. Réalisé par Alexandre Richard Musique écrite et performée par Mada Mada Acteurs: Mada Mada, Amélie McGarrel & Roger Léger Production: Les Orphelins Cinematographer : Graham GS Producers : Graham GS, Alexandre Richard Production Manager: Charlie Twigg 1st Assistant Director: Francesco giannini Screenwriter : Alexandre Richard Artistic Director : Sofia Touboul Assistant artistic Director: Etienne Pouyi, William Drolet Make up artist : Mary-Jane Khalife 1st AC : Issa Karim Key Grip : Yvain Jeanmart Gaffer: Saad Abas Swing: William Drolet Sound Recording : William Drolet Production Assistant : Florence Beaudoin On set Photographer : David Gogan Editing : Alexandre Richard Sound Design & Mix : Kristopher Laflamme Color Grading Studio : Simon BoisX VFX by : AA Studios VFX supervisor : Marc Hall Coordination : Moon Marsolais VFX Artists : @jonathancyr2101 , Loic Azoique, Ahsan Khan Musique: Performé par Mada Mada et Orlanda Drum: Sam Aether Bass: Émile Farley Cuivres: Alex Dodier Label: Blü Dog media Mix: Jacob Lacroix-Cardinal Master: Trillium Sound Merci à : Cineground, El Camion, AA Studios, Youri Pelletier, John Morgan, Étienne Dagenais, Musicaction, La Sodec, Larissa Souline, Taxi Promo

Paroles: "Un pont levis, protège ma vie Quand j’en ai envie Je laisse un passage Vers mon nuage Un grand visage naissant Nos quiproquos fusent en éclairs Et tous ces mots cachent ma colère Mais entre nous, Je préfère la taire Ça te ressemble trop m’éviter Tu changes tes yeux même dans l’obscurité Ton iridescence Déjoue mes sens La métrologie Elle meurt aussi Quand nos larmes s’échangent Les mots se font étanches Est-ce un filament Ou bien l’épreuve du temps Nos sentiments Imprimés dans le sang Ces couleurs font comme les vagues, Iridiscentes Ma prose gondole, se perd en chemin Nos lèvres s’étiolent, tirent à leur fin Entre nous, un grand nuage néant Ton iridescence Déjoue mes sens La métrologie Elle meurt aussi Quand nos larmes s’échangent Les mots se font étanches Est-ce un filament Ou bien l’épreuve du temps Nos sentiments Imprimés dans le sang Ces couleurs font comme les vagues, Iridiscentes" ---------------------------------------------------------------- Video: Gia Khanh Nguyen Le Illustration: Mathieu Larone Musique: Mada Mada Bass: Émile Farley Drums: Jay Essiambre Mix: Jacob Lacroix-Cardinal Master: Trillium Sound Mastering Produit par Blü Dog Media

Paroles: "Océana semble se perdre dans son language Ses yeux se tournent vers la terre, ses idées prennent le large Des ongles déchirent les pages de ses mots, Son regard s’efface Disparait Ses yeux sont des saules dont les pleurs viennent des autres Et la marée l’épuise La garde prise Océana tu dois te rendre à l’évidence Nager sous les lampadaires peut sembler bien étrange Étranges sont les autres qui se font du mal Et détournent le regard Des vraies choses J’ai peur que tu partes pour de bon Océana, n’oublie pas ces mots Sois douce avec toi Chère Océana Tes soucis importent Chère Océana C’est un faux départ C’est juste un faux départ" ----------------------------------------------- Video par Alina Herta Mettant en vedette Blake Ranger Musique par Mada Mada Cuivres: Alex Dodier Drums: Jay Essiambre Mix: Jacob Lacroix-Cardinal Master: Trillium Sound Mastering Produit par Blü Dog Media

Music: Mada Mada Bienvenue sur le parterre C’est sans commentaire, Je suis lasse de danser Bienvenue sur le parterre C’est sans commentaire, Je suis lasse de danser Comme sous le tonnerre, Faut un parapluie, le tenir Puis se taire Comme un sitcom, je ne sais plus J’aime ton corps et le cinéma Je parle trop fort même quand j’ai tort J’dépense tout bas Une chance que c’est toi Chaque matin me manque, chaque fois tu m’attends Où est-ce que tu m’emportes, j’ai peur que tu me mentes Sans faire des façons, je mords à l’hameçon Joue de mes oeillères, j’en crois plus mes oreilles Chaque matin me manque, chaque fois tu m’attends Où est-ce que tu m’emportes, j’ai peur que tu me mente Sans faire des façons, je mords à l’hameçon Joue de mes oeillères, j’en crois plus mes oreilles Bienvenue sur le parterre Bienvenue sur le parterre Je suis lasse de danser Comme un sitcom, je ne sais plus J’aime ton corps et le cinéma Je parle trop fort même quand j’ai tort J’dépense tout bas Une chance que c’est toi Chaque matin me manque, chaque fois tu m’attends Où est-ce que tu m’emportes, j’ai peur que tu me mente Sans faire des façons, je mords à l’hameçon Joue de mes oeillères, j’en crois plus mes oreilles Chaque matin me manque, chaque fois tu m’attends Où est-ce que tu m’emportes, j’ai peur que tu me mente Sans faire des façons, je mords à l’hameçon Joue de mes oeillères, j’en crois plus mes oreilles

Music: Mada Mada Bleu c’est la couleur de mes tremblements Rouge c’est la détente sur l’énervement Ça fait beaucoup trop de temps que je reste en dedans Tellement de vent qui se perd sans se rendre à moi Visage sans couleur bien retaillé Tout ce monde est beau, tout ce monde est gayé Doux retournement, ma voix puis son écho: “Bel appartement, pas mal la déco!” Hallelu- Halleluya Hallelu- J’fais ce que je veux, j’suis chevalier Les murs qui se resserrent pour me piéger Seul face à la mer qui me fait les yeux Tellement de vent qui me brasse la tête Qui me la casse en deux Soliloque Soliloque Soliloque Soliloque Soliloque Soliloque Soliloque Soliloque Soliloque Soliloque Soliloque Soliloque Soliloque Soliloque Soliloque Soliloque Hallelu- Halleluya Hallelu-

Music: Mada Mada C’était trois mots dans le vent Et trois autres dans le silence Ces pieds sont des rochers Figés dans le temps Une poussière qui n'ose tomber Suite aux années, suite aux années Me semble ça fait longtemps Que je marche dans le mauvais sens Je tourne sur la tête, Les rouages de la tempête Suite aux années, suite aux années Je surestime l’avant, Les regrets qui me viennent doucement Quand même c’est pas trop mal, Ce sont les jours entre les dents Qui restent encore C’est fou comme il m’en reste encore Sous le sol, la vie revient quand on arrête Quand on arrête